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Un achat frauduleux

Posté le Dim 12 Sep - 17:01
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Le visage de Gabriel ruisselait de gouttelettes. En effet, lui et Wanga étaient dans une mer de nuages humides, annonçant un orage futur. Au contact de sa peau, l’eau se condensait et retrouvait son état liquide. A cette hauteur, avec la vitesse de Wanga et le froid du Nord, un humain normal aurait succombé. Mais heureusement Gabriel s’était entouré de protection réchauffant ainsi son coeur. Quant à Wanga, elle aurait put voler pendant des heures durant à une température deux fois plus basse que celle si : le froid atteignait à peine ses premières écailles.

La veille, le dragonnier et sa dragonne avaient dormi près d’un petit bosquet à la lisière du Du Weldenvarden, la forêt des elfes. Wanga put ainsi trouver trois jolies cerfs, dans lesquelles Gabriel eut de quoi prendre une cuisse. Contrairement à Eragon, il arrivait sans trop de réticences à manger de la viande, bien qu’il ne prenait pas plaisir à le faire non plus. Il s’était convaincu qu’il fallait bien une mort à tous, et qu’au moins les leurs auraient une utilité. Après un délicieux repas, et après que Wanga eut recraché les bois et les os de ses trouvailles, ils s’endormirent profondément autour du feu. La journée allait être longue.
Le lendemain, ils étaient repartis de bonne heure, sans prendre de petit-déjeuner. De toute manière, Wanga pouvait tenir plusieurs jours sans rien manger, et Gabriel était encore repu du repas de la veille. Le temps était devenu maussade, voir orageux, et il ne leur fallait pas traîner.

Alors que cela faisait une heure qu’ils volaient, les nuages s’écartaient légèrement laissant apparaître le village en contrebas. Wanga descendit alors vers la terre ferme, afin de ne pas attirer l’attention sur elle en se rapprochant trop près du village : Carvahall. En effet, Gabriel avait pour but ce petit village. Petit, mais important. Car si une chose sur ces terres n’avait pas changé depuis la chute de l’ancien tyran Galbatorix, c’est bien la fête marchande qui y a lieu tous les deux ans. Et celle-ci approchait à grand pas. Que cela signifiait donc pour le petit prince du Surda ? Que les nombreux magasins de Carvahall avaient récemment renfloué leur stock de marchandises. Et Gabriel avait un gros achat a faire...Mais une trop petite bourse. Il avait beau être prince, le royaume de Surda vivait une période difficile, et sachant qu’un jour ce royaume lui appartenait, il avait choisi de laisser au royaume ce qui est au royaume...La trésorerie royale devait avoir d’autres fins dans sa tête...Mais là n’était pas le sujet. Gabriel ne pouvait compter que sur sa fortune. Et sa bourse était bien légère pour le moment. Mais il ne comptait pas payer : c’est pour cela qu’il devait se faire discret. A Carvahall résidaient de nombreuses connaissances d’Eragon. Si son maître était au courant de ses actes malsains, les conséquences seraient terribles. Il devait donc prendre un maximum de précautions.

Et c’est ce qu’il fit. Il demanda à Wanga de l’attendre caché dans un retranchement sur la crète. Quand à lui, vêtu d’un simple manteau à capuchon, il entreprit une descente des montagnes vers Carvahall. Après plusieurs minutes de marche, il arriva à bon port. Un garde royal lui demanda de remplir un formulaire avant de pénétrer dans le village. Puis, Gabriel put passer et alla se restaurer à la taverne. Grâce à ses talents, il utilisa le porte pièce d’un voisin pour payer la note, puis se rendit au forgeron où il avait fait commande...Le meilleur de Carvahall. Hélas, il eut une mauvaise surprise : il y avait deux gardes à l’entrée. Effectivement, il devait être un forgeron bien réputé pour avoir les moyens de se payer une protection.

S’approchant au moment opportun, c’est à dire quand il n’y avait plus de passant dans la rue, Gabriel murmura :

« Slytha »

Quelques secondes plus tard, les deux hommes s’accroupirent, et en moins d’une minute, ils tombèrent dans un profond sommeil. Gabriel put s’avancer afin d’aller chercher la commande qu’il avait fait un marchand... A savoir une armure de dragon ainsi qu’une charrette pour la transporter. Il avait contacté deux mois plus tôt le marchand, prétextant que sa femme était une passionnée de dragon, et qu’il souhaité pour leur 10 ans de mariage lui offrir une armure de dragon. Il avait put par ce mensonge demander au marchand la plus grande discrétion, afin que le bouche à oreille ne révèle pas l’idée à sa femme. Ainsi, Gabriel ouvrit la porte et s’engouffra dans la chaleur de la forge...
Posté le Dim 12 Sep - 20:20
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Depuis plusieurs jours, le jeune elfe n’avais vu personne. Il avait décider de traverser les montagnes pour se rendre au village de Carvahall, pour assister a la fête marchande. Ce genre de fête attirait tout le temps des habitant de toute les régions. C’est cette raison qui le poussa a marcher pendant presque une semaine, essuyant vents et orages, afin de pouvoir en apprendre plus sur ce peuple qu’est la caste des dragonniers.

Au bout d’un long moment, le jeune Kaer’ra, épuisé, arriva sur une colline d’où il puis voir le village qui s’esquissait a l’horion. Un léger sourire se dessina aux coins de ces lèvres avant qu’il ne continu sa marche. Quelque chose attira son regard dans le ciel. A première vue, on aurais pus penser a un oiseau gigantesque mais la forme de ses ailes ainsi que celle de sa tète indiqua a Kaer’ra qu’il s’agissait en fait d’un dragon. La bête était plus grande que toute les créature que Kaer‘ra n‘avait vu de toute sa vie, mais il faut dire qu‘il n‘avait jamais vu de dragon. Cette créature étincelait a la lueur du soleil, les écailles d’un blanc éclatant, et volait avec facilité, comme armée d’une agilité et d’une grâce divine. Ses puissante ailes la maintenait en l’air avec peu de battement, comme porter par le vent lui-même, ne semblant peser que quelque grammes tout au plus. Le jeune elfe aperçut une silhouette percher sur le dos de la bête. Ses iris se dilatèrent encore, si cela était possible, a la vision du dragonnier chevauchant sa monture. Depuis qu’il était partie de son village, il n’avait a l’esprit qu’une seule chose, rencontrer un dragonnier. Mais il n’eut que quelque secondes pour profiter du spectacle car la bête commencer déjà a s’éloigner. Au vus de sa trajectoire, il y avait tous a parier qu’elle se rendais au même endroit que l’elfe, mais elle y arriverais bien avant lui. Il décida donc de reprendre sa marche a une allure plus rapide que jamais. C’est presque en courant qu’il dévala le flanc de la montagne.

Le souffle court et des point de coter l’empêchant presque de respirer, il entra dans le village. Malgré la douleur de ces cotes et le mal qu’il avait a retrouver un rythme respiratoire correcte, il ne pensait qu’a une chose, le dragon. Il pris appuis sur un mur afin de respirer quelque seconde mais quand il voulu repartir, il s’étala de tout son long sur le sol. Il avala une bouffé de poussière lorsqu’il percuta le sol. Une quinte de toux le tirailla pendant quelque minutes, le forçant a garder le visage contre le sol. Quand il pus se relever, il épousseta légèrement ses vêtements avant de partir en quête d’un endroit pour se désaltérer. Il trouva une grande écuelle, destiné normalement aux chevaux, mais il y plongea la tête. Il se sentis revivre, sentant la moindre goutte de l’eau fraiche lubrifier sa trachée sèche et pâteuse et rafraichir son visage qui coulais de sueur. Il resta quelque seconde la tète émerger avant de sortir et d’inspirer une grande bouffé d’air.

Il secoua la tète violement, se fouettant le visage de ses long cheveux mouillé avant de reprendre la route. Il se demanda ce que pouvais faire un dragonnier a la fête marchande mais quand il repassa la scène dans sa tète, il se rendis compte que la bête n’avait aucune protection. Il pensa donc un a un forgeron. Quand il se rendis devant le premier forgerons qu’il trouva, deux homme, qui semblais être la pour garder la boutique, était sur le sol, inconscient. Il se précipita a leur hauteur afin de voir ce qu’il se tramais. Un bruit dans la boutique indiqua qu’elle n’était pas vide. Peut être était-elle soumise a un braquage?
Posté le Ven 17 Sep - 21:31
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— Qui est là ?

Parmi la vapeur et les bruits que dégageait la forge, un homme bien bâtit s’avança, à la recherche de la personne qu’il avait entendus – où du moins cru entendre – Son marteau à la main, il chassa de l’autre la fumé qui troublait sa vision. Ces jours de marchés, ils ne les avaient jamais vraiment aimé … il était un artiste, et ne marchandait pas ses œuvres en échange de quelques piécettes. La plupart des gens ne comprenaient pas, à son grand désarroi. Le cœur du forgeront se mit à battre un peu plus fort lorsque, encore une fois, des bruits de pas se firent entendre. Combien étaient-ils ? Que voulaient-ils ? Sa main se resserra sur le manche de son marteau, et la chaleur ambiante combinée au suspens le fit suer à grosse goutte. Il aurait très bien pu crier et appeler ces gardes, mais quelque chose lui disait que ces même gardes seraient bien incapable de venir l'aider. Et puis, après tout, il n'était même pas sûr du fait d'être en danger : il délirait peut être, où se l'imaginait simplement.

[Désolé, hyper court. C'était surtout pour poster quelque chose ce soir =S]
Posté le Sam 18 Sep - 0:44
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La chaleur étouffante, voir suffocante surprit Gabriel. A peine fut-il rentré qu’une nappe de vapeur s’attaqua à sa peau Il se demanda comment pouvait-on travailler dans ces conditions, mais là n’était pas la question.

- Qui est là ?

Malgré les chocs des machines et le crépitement des fournaises, Gabriel put reconnaître la voix rauque et puissante du forgeron. Il sonda son esprit. Il put y lire tout le mystère et l’importance qu’il apportait à son art, mais le dragonnier n’avait pas le temps de s’attardait sur les détails. Il put repérer où était son armure de dragon qu’il avait commandé quelques mois auparavant. Mais alors qu’il cherchait des détails par rapport aux éventuels doutes du forgeron, il sentit que celui-ci fermait son esprit aux intrusions. Avant d’éveiller tout soupçon, il se retira doucement, puis s’exclama d’une voix forte :

- Je viens chercher une commande !


- Qu’avez-vous commandé ?

- Une armure de dragon ! lâcha inconsciemment Gabriel.

Un silence se fit...Puis, après plusieurs fracas métalliques, un homme de forte stature se dévoila auprès de l’arrivant, qu’il dévisagea de la tête au pied :

- Ah oui, je me souviens de vous... Une armure de dragon donc... Elle est prête pour votre femme. Mais vous avez bien de la chance, il est rare que j’accepte de vendre mes œuvres aux itinérants comme aux riches marchands comme vous.

- Fort bien, fort bien...Je m’en réjouis ! répondit Gabriel d’un air malicieux... Avez vous également une charrette comme je vous l’avez demandé.

- Eh mon p’tit gars ! Je suis forgeron moi ! Je n’ai qu’une charrette, et j’en ai fort besoin pour mon travail.

Cela allait poser problème à Gabriel. En effet, une armure de dragon ne se trimballait pas inaperçu dans un village. Hors, il se devait d’éviter tous les risques possibles afin de ne pas frôler la catastrophe : qu’Eragon apprenne ses méfaits. Il chercha donc une solution. S’il voulait s’en sortir, il faudrait qu’il tue le forgeron. En effet : s’il voulait pouvoir prendre sa charrette également, il ne pourrait pas se contenter de lui subtiliser son armure, ou bien éteindre sa mémoire. La disparition de sa charrette, élément essentiel, affaiblirai trop la magie effectué sur lui et aurait pour risque de lui rendre la mémoire. Seulement, l’idée de tuer de sang froid répugnait Gabriel. Du moins, il n’était pas sûr d’en avoir le courage. Que lui fallait-il faire ?
Pendant qu’il réfléchissait, l’homme s’impatienta et lui demanda :

- Avait vous apporté la somme nécessaire ? Je ne vois aucun sac près de vous...

Il commençait à être méfiant. Gabriel ne pouvait plus attendre : tant pis. Il formula d’abord les mots dans sa tête puis s’exclama :

- Trhysta vindr !!! [Comprime l'air]

Le forgeron ayant compris l’acte d’agression, sortit son lourd marteau afin de l’abattre sur Gabriel qui l’esquiva, laissant l’homme s’écrouler et se tenir la gorge : il suffoqua pendant quelques secondes, avant de pousser son dernier soupir. Gabriel tressaillit : il venait de tuer un homme, mais n’eut pas le temps de se morfondre sur son acte. Non seulement, cela n’était pas interdit selon ses principes, mais en plus il put sentir une présence extérieure se rapprochant rapidement de la forge...Quand il voulut étendre son esprit, il se heurta à un mur infaillible....Un elfe ! Aussitôt il paniqua. « Que pouvait bien faire un elfe ici ? » Quoi qu’il en soit, il eut juste le temps de jeter le corps dans les fournaises de la forge afin que celui-ci disparaisse, avant de faire face à la porte qui s’ouvrait, laissant entrevoir l’ombre de l’inconnu.

__________

PS : C'est juste ce qu'il fallait MJ... Ce n'est pas dans la longueur que se juge un RP, mais dans sa qualité ! Wink
Posté le Mar 21 Sep - 19:57
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Pendant quelque secondes, le jeune elfe essaya de réveiller les deux garde, mais ceux-ci semblais avoir était ensorceler. Des voix s’élevèrent de la forge et commencèrent a se répondre mutuellement. Kaer’ra n’osa pas entrer jusqu’à ce que l’un deux lance une incantation, suivis d‘un bruit mat, comme si quelque chose était tomber sur le sol. L’elfe décida donc de savoir ce qui se passait, il entrepris d’entrer mais une sensation étrange le pris au tripe, quelqu’un essayer d’entrer dans son esprit. Il n’eut aucun mal a déjouer cette tentative d’intrusion, il faut dire qu’être elfe, sa aide parfois. Il eut un léger sourire, la personne qui était dans la forge était doué, mais il en faudrait plus pour percer sa protection mentale. Il entra donc dans la forge et réprima une envie de tousser quand un volute de fumer passa dans sa gorge. La température des lieux était insupportable. Comment quelqu’un pouvais taper sur de l’acier toute la journée dans une atmosphère comme celle-ci? Quand il arriva dans la salle ou était entreposer les différente pièce forgée mise en vente, il découvris un homme aux cheveux court et frisés, habillé d’une sorte d’armure en cuir, qui se tenais devant une masse couchée sur le sol. Il ne fallu pas longtemps a Kaer’ra pour voir que la masse en question se trouvait etre un homme de forte stature, raide comme l’acier qu’il travaillait a longueur de journée. L’homme en armure semblais ébahis de le voir ici, comme si il avait deviner qu’il était un elfe. Kaer’ra posa sa main sur la garde de son épée, juste par prudence et il se concentra. Si l’homme décidait d’attaquer par la magie, il valait mieux être prêt, encore plus quand on sait que l’endroit était loin d’être idéal pour pratiquer la magie de l’eau. Il se risqua a dire :

-qui êtes vous? Que c’est-il passer ici?
Posté le Sam 25 Sep - 22:06
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Une lumière jaillit de la porte. A travers les fumées et les vapeurs de la pièce, Gabriel put voir cette tâche blanche apparaître et s’approcher de lui jusqu’à ce que les deux protagonistes puissent s’observer parfaitement. Ses sens ne l’avait pas trompé : il s’agissait bel et bien d’un elfe. Habillé avec des vêtements clair, les cheveux longs et châtains cachant ainsi ces oreilles pointus. Il pouvait aisément se faire passer pour un homme, mais n’importe quel érudit comme des dragonniers auraient deviné aux traits de son visage que celui-ci n’était pas de cette race.
L’elfe le dévisageait. Apparemment il analysait la situation...Gabriel put même sentir une préparation physique et mental a une quelconque agression de sa part. « Mais que pouvais bien faire un elfe dans cette région de l’Alagesia. » Quoi qu’il en fût, Gabriel ne pouvait pas se permettre de laisser un témoin de son acte. Il devait agir : mais comment ? Avant que la réponse ne lui vînt, l’étranger pris la parole :

- Qui êtes vous? Que c’est-il passé ici?

Il ne savait pas qui il était. C’était déjà sa. Mais le risque qu’il rencontre Eragon ou Arya, ou encore une autre personne qui par ses dires parviendrait à deviner le terrible méfait de Gabriel était trop élevée, et une erreur de sa part lui serait fatale.

- Je suis Gabriel prince du Surda, héritier du trône et dragonnier. Je suis venu ici chercher une armure de Dragon, mais quand je suis arrivé, les gardes étaient par terre et le forgeron agonisait.

Quelques secondes a peine avant votre venu, il tenait tout juste debout et s’est écroulé. Il est mort hélas. Mais je peux percevoir les malfaiteurs qui se réfugient dans les crêtes. Je vais les pourchasser. Quand à vous, veuillez à ce que le village soit alerté et que cet home ait des obsèques dignes de son talent.


Voilà qui n’était qu’un pur tissu de mensonges. Mais son interlocuteur avait beau être un elfe, l’art du subterfuge, de la trahison et du mensonge était une chose bien connue chez Gabriel, où il excellait !

- Je vais tout de même emporter mon achat, afin que ce valeureux forgeron n’ait pas usé de ses mains pour rien.

Gabriel attacha un des deux chevaux de la forge à la chariote usé et tremblante du défunt, et pris les pièces d’armure pour son dragon qu’il emballa dans des sacs de toiles avant de les embarquer afin que tout le monde ne voient pas qu’une armure de ce genre quitte la ville, chose peu courante.
Puis, il entreprit de partir par la grande porte. L’elfe ne bougeait toujours pas et semblait réfléchir... Gabriel se tenait prêt : son mensonge était parfait, mais on n’était jamais assez trop prudent. A la moindre hésitation ou geste agressif de l’elfe, il utiliserais des méthodes beaucoup plutôt politiquement incorrect, voir immorales.
Posté le Mer 6 Oct - 22:44
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Le jeune Elfe écarquilla des yeux, un dragonnier! Depuis le temps qu’il en recherchais un! Ce devait être le maitre du dragon qu’il avait aperçut en arrivant dans cette ville. Une montée de question lui vint a la tète et il resta quelque instant sans dire mot… il savais qu’il devrais plutôt accompagner l’homme qui lui faisait face au poste de garde le plus prêt afin de tirer au clair toute cette affaire, cependant, il ne pouvais se résoudre a laisser filer une occasion peut être unique de répondre a ses question sur les dragonnier, pour tout dire, il avait un peu quitter son village natal pour sa. Il se racla la gorge avant de dire :


Un dragonnier? Je dois vous avouez que je suis vraiment très exciter de me trouver en votre présence! J’aurais un tas de questions a vous poser. Pour tout vous dire, je suis partie de mon village il y a quelque temps afin de pouvoir un jour rencontrer quelqu’un comme vous. Serai-ce trop de ma part de vous demander a vous accompagner. Je comprendrais bien sur que vous ayez quelque chose de prévus de plus important que de répondre aux questions d’un elfe ayant soif de savoir. Si vous réfutez ma demande, je ne vous en tiendrais pas rigueur, mais si vous pouviez me montrer votre monture, ce serais un véritable honneur pour moi!
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