Registre de Níniel

Posté le Mar 15 Mai - 16:32
Invité
Citer Editer Supprimer IP
    » Papiers Légitimes

    ▐ Nomination : Níniel Eld Gala Du Wyrda de Ellesméra.
    ▐ Race : Elfe.
    ▐ Sexe : Féminin
    ▐ Age : Cent-douze années.
    ▐ Camp : La Caste des Dragonniers/ Le Beau Peuple.

    » Physique & Caractère

    Bien que jeune, Níniel fait preuve d'une maturité que d'autres espèce n'acquièrent qu'avec l'âge, voir ne l'acquièrent jamais mais elle est encore bien loin d'avoir la sagesse et la tempérance de ses aînés. Sa jeunesse est un fardeau qui pèse sur les épaules de la jeune elfe, elle sait qu'il y a des choses qu'elle ne comprendra que plus tard, quand la sagesse et l’expérience compléterons son savoir, mais sa soif de connaissance et son orgueil, parce qu'il faut le reconnaître, le Beau Peuple est un peuple orgueilleux, bien qu'à raison, la mène a être souvent frustrée par l'incompréhension et bien qu'elle ne puisse rien y changer, elle en ressent quand même de la peine et même une certaine colère. D'une nature assez curieuse vis-à-vis des choses qu'elle ne connaît pas, elle plonge souvent dans les mémoires de ceux qui l'y autorisent pour prélever les savoirs qui lui manque et elle sait se montrer très persuasive afin qu'on l'y autorise. Empathique, la jeune femme ressent les souffrances et le bonheur des autres comme s'il s'agissait du sien, plus particulièrement lorsqu'elle se plonge dans les souvenirs des autres, ce qui l'affecte, parfois trop, elle fait de son mieux pour les canaliser et ne laisse généralement rien transparaître. Comme beaucoup des siens, Níniel est calme et réfléchis et mesure l'impact de ses paroles ou de ses actes avant d'agir.

    Níniel ne fait pas offense au renom de son peuple en matière de magnificence, bien qu'encore jeune, elle dispose déjà du charme et de la sublimité de ses aînés. Elle mesure un peu moins de cinq pieds et demi et dispose d'un corps en harmonie à sa taille, elle est pourvue d'une beauté hypnotique, à mis chemin de l'espièglerie du lutin et de la délicatesse d'une fleur. Sa peau blanche et diaphane, aussi délicate et douce que le velours, est une perle sans impureté, pas un seul stigmate ne la zèbre et les muscles fins enchâssés dans ses chairs saillent finement sous le voile presque translucide de sa peau. Tout dans son aspect semble étudier pour la porter au sommet de la féminité, de ses mains délicates aux doigts graciles à son galbe sculptural et enchevêtré mais pour le moins enivrant. Les détails mêmes de son physique semblent avoir été travaillés pour que les yeux les plus avisés la voit aussi parfaite que les regards moins aguerris, des détails allant jusqu'à sa démarche féline, semblable à la marche d'un jaguar, d'une grâce et d'une élégance dangereuse. Son visage est un havre de sérénité, doté d'une beauté saisissante et dont le sourire, aussi rare fut-il, illumine son visage autant qu'un paysage s'embellit à l'éclosion des bourgeons à la saison de la floraison. Sa chevelure brune ondoyante lui descend à mi-poitrine dansant sur ses épaules, des éclats à la couleur de l'acajou y virevoltent en fonction de la luminosité. Son regard d'un vert-de-gris se nuance lui aussi en fonction de l’éclairage, allant d'un vert plus intense à un bleuté irisé, est surplombé par des sourcils fins et parfaitement dessiné, formant et léger angle oblique vers l’extérieur, et dont le tour est cerclé d'un noir renforçant l'envoûtement de ses yeux. Ses lèvres, fines et dessinés, à la teinte couleur chair, sont surplombés d'un nez fin à l'arrête droite et à l'extrémité légèrement en trompette. Níniel revêt avec aisance les robes qui caractérisent les femmes de son peuple, dont les couleurs chatoyantes et les étoffes nobles font pâlirent de jalousie les meilleurs couturiers humains, des tenus qui, dans ce peuple encore jeune serait digne d'une princesse. Mais elle est tout aussi apte à troquer ses luxueuses tenues pour une côte de mailles et un plastron, ramenant ses cheveux tressés autour de son crâne comme une couronne, en laissant la fin pendre dans sa nuque alors que quelques mèches lui pendent sur le front, dégageant alors une aura guerrière, une vélocité moue par les incroyables prouesses que sa nature d'elfe lui permet d'accomplir.

    » Histoire

    Níniel est une toute jeune elfe, née il y a un peu plus d'un siècle dans la capitale elfique, Ellesméra. D'aussi loin que remonte la mémoire de son père et de sa mère, ils firent toujours partis du Äthalvard, l'association d'elfes qui s'employaient à conserver intacte les chants et les poèmes que divers elfes avaient composés, il semblait évident que lorsqu'elle en aurait l'âge, Níniel reprendrait le flambeau de ses parents, devenant une varden des écrits lyriques du Beau Peuple, mais tel ne fut, et ne sera pas son destin. Dans son enfance, ou du moins lorsqu'elle avait l'apparence d'une enfant, parce qu'elle est encore considérée comme une enfant parmi les siens, Níniel ne connus pas l'enfance tendre comme la perçoive les humains, les gestes de tendresse et de douceur étaient réservés à l'intimité de la famille et même là, ses gestes demeuraient rares, pourtant, l'enfant ne fut pas malheureuse, loin de là, le lien mental avec ses parents lui suffisait pour comprendre l'amour qu'ils lui portaient, lorsqu'elle touchait la conscience de sa mère ou de son père, elle se laissait enivrer par l'étreinte chaleureuse de l'amour de ses parents, alors qu'ils s'engouffraient dans sa conscience, l'emprisonnant dans un délicat cocon mental, où l'inconditionnel amour qu'ils lui portaient ne pouvait plus être remis en question. Níniel suivit dès qu'elle fut en âge de comprendre les préceptes des elfes, bien qu'elle sue en son fort intérieur qu'il y avait bien des choses dans l'enseignement qu'on lui prodiguait qu'elle ne finirait par comprendre qu'avec l'âge et la sagesse dont faisait montre ses pairs âgés de plusieurs siècles. Elle apprit les chants cérémonieux et infiniment mélodieux de son peuple, les uns après les autres, ainsi que les poèmes et on lui enseigna comment y imprégner la magie, bien qu'elle ne fut pas en âge de se servir de celle-ci encore.

    Le temps passa et Níniel mémorisa chacun des poèmes, chacun des chants, chacune des notes de ceux-ci, mais elle comprit aussi l'ancestrale magie qui embaumait certains d'entre-eux. Elle n'avait pas été formée au combat à l'épée, le chant et la magie était ses armes, et son esprit et sa connaissance de l'Ancien Langage en étaient les lames aiguisées et meurtrières, plus affûté et dangereux qu'une lame de rasoir. La seule arme qu'elle maniait avec habilité était l'arc, mais ça n'avait rien de surprenant, la plupart des elfes étaient de talentueux archers, doués d'un talent naturel qui surpassait de loin celui d'un homme qui s'y serait entraîné, parmi les archers de son peuple, il n'était pas rare qu'elle entende qu'ils manquaient rarement leur cible, sinon jamais.

    Sa vie à Ellesméra était plutôt calme, après la guerre, le taux de maternité chez les elfes avaient augmentés, alors que dans les dernières décennies, il n'y avait eu que très peu d'enfants parmi eux. La fin de la guerre avait retiré un poids pesant des épaules des elfes et la vie avait reprit son cours naturelle. Níniel s'interrogeait sur la guerre, elle sentait dans la conscience de certains le traumatisme qui en découlait, la perte d'un être chair, les effusions de sang, la laissant pantoise. Elle demanda plusieurs fois l'autorisation d'explorer la mémoire de ses aînés, certaines refusèrent, mais d'autres acceptèrent et ceux-ci déversèrent en elle les souvenirs de la guerre, la violence des combats, le chagrin qui les assaillaient quand l'un de leur frère tombait au combat. Une expérience qui secoua beaucoup Níniel, qui en raison de son tout jeune âge, n'avait pas accompagnée la Dröttning Islanzadí et ses troupes à la guerre. Elle n'avait pas connus la violence des combats, à l'abri des massacres dans le Du Weldenvarden, mais par le biais des souvenirs de ceux qui avaient combattus, elle revivait les évènements, voyant plus d'un représentant du Beau Peuple qu'elle connaissait mourir sous les coups des Impériaux et à chaque fois, un profond chagrin la submergeait, elle se retirait alors au fond de son être et vagabondait seule dans Ellesméra et dans la forêt.

    C'est comme ça qu'elle rencontra pour la première fois un dragon, alors qu'elle était assise aux pieds de l'arbre Menoa, elle vit un dragon vert émeraude volé au dessus de la forêt, elle apprit plus tard qu'il s'agissait de Fírnen, le dragon de la Dröttningu Arya. Elle revit plusieurs fois le dragon, le trouvant magnifique, ses écailles luisantes comme l'émeraude et peu à peu, elle se mit elle aussi à rêver de pouvoir un jour chevaucher un puissant dragon, sans savoir que le moment viendrait où son rêve deviendrait réalité.

    Le dernier œuf non-éclos de l'union de Saphira et Fírnen arriva dans le Du Weldenvarden en compagnie de Arya et du dragon d'émeraude, dans le but, elle le devina aisément, de le voir éclore pour un des elfes. Un long moment, le Beau Peuple défila devant l’œuf, tour à tour, sans que celui-ci ne daigne réagir pour l'un d'eux. A la nuit tombée alors, que la princesse elfe allait se retirer avec le bébé dragon, Níniel lui demanda si elle pouvait le toucher, rien qu'une seconde, Arya hocha la tête et posa l’œuf sur un coussin en velours mordoré. La jeune elfe s'accroupit afin d'être à hauteur.

    Elle contempla l’œuf un moment, étendant sa conscience jusqu'à celui-ci pour toucher l'esprit endormi du petit dragon à l’intérieur de la coquille, dont l’œuf noir était veiné par de l'onyx, c'est du moins l'impression qu'avait Níniel. Quand sa main se posa à la surface de l’œuf, celui-ci bougea, le dragon à l'intérieur frappait la coquille par l'intérieur et la jeune elfe écarquilla les yeux, puis encore, jusqu'à ce qu'une fissure apparaisse à la surface de la coquille et que dans un autre coup de son museau, le dragon laisse apparaître sa petite tête noire aux yeux à la couleur de la citrine, il était sublime et à la fois terrifiant, le noir luisant de ses écailles lui rappelait les images mentales de Shruikan qu'elle avait puisé dans les mémoires de certains de ses semblables. Cependant elle était irrésistiblement attiré par le dragonneau et, timidement, elle posa sa main entre les naseaux de celui-ci, immédiatement, une brûlure froide au niveau de sa paume, semblable à la morsure de la neige sur la peau, la fit défaillir, elle puisa dans ses forces pour soutenir la douleur, jusqu'à ce que celle-ci s'apaise assez pour qu'elle la supporte, c'est alors qu'elle remarqua quelque chose d'étrange, sans pourtant projeter sa conscience elle sentait l'esprit du petit dragon dans le sien, et savait que le dragon ressentait lui aussi la même chose. Elle sourit et regarda sa paume, ou la Gedweÿ ignasia scintillait, puis elle entendit une voix masculine dans son esprit, une voix qu'elle entendait pour la première fois, mais elle sue immédiatement qu'il s'agissait du dragonneau.

    « Nous sommes unis pour la vie, maintenant... Shur'tugal. »

    Le nom du dragon s'imprima dans l'esprit de l'elfe comme une évidence, Alduin était son nom et Níniel en était la jeune et inexpérimentée dragonnière, elle était sa Shur'tugal

    » Et voici ma vie

    [url=lien de votre rp]Titre de votre RP[/url] : résumé de votre RP
    [url=lien de votre rp]Titre de votre RP[/url] : résumé de votre RP
    [url=lien de votre rp]Titre de votre RP[/url] : résumé de votre RP

Registre de Níniel


Poster une réponse rapide
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum